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Voici ce soir le récit d'une nouvelle petite séance de ravissement personnel qui ne m'a pas laissé vraiment indifférent puisqu'elle sortait de l'ordinaire pour moi tant par la méthode que pour sa suite !

Il faisait encore bien froid ce jour-là en forêt… J'en avais plus qu'assez d'avoir froid, même moi l'homme habitué aux basses températures et je commençais sérieusement à ne plus supporter cela. J'étais une fois de plus seul à bosser et je m'accordais donc assez volontiers de sympathiques moments de repos pour tenter de me réchauffer.

Pour ce faire, je mettais ce jour-là plus souvent que de coutume mes mains dans mon pantalon car j'avais oublié mes gants comme un idiot ! Parfaitement emmitouflé dans ma tenue de bûcheron je n'avais pas vraiment froid au corps, juste aux mains et de façon bien cruelle !

Mes pognes, bien à l'abri dans mon futal, se sentaient bien à l'aise dans le confort chaud et n'avaient rien d'autre à faire que se réconforter. Comme tout ce qui est oisif, elles se sont assez vite trémoussées et ont eu des initiatives coquines que je n'ai pas cherché à refreiner !! A quoi bon ?? Je m'y attendais !! Je ne les connais que trop !

C'est ainsi que, fidèles à leurs habitudes, elles ont cherché à retrouver leurs vieilles amies, ma queue et ses deux acolytes, qui se trouvaient si proches d'elles !!!

Elles se connaissent bien pour bosser souvent ensemble ! Je peux même dire qu'elles s'apprécient beaucoup et que leurs nombreuses rencontres sont toujours ponctuées d'instants de joie et couronnées de débordement.

Mais cette fois leur dialogue intime ne pouvait se faire qu'au travers d'une paroi de tissus. Non contrariées de cela, elles ont décuplé leurs tentatives de rapprochement allant jusqu'à déranger les habits qui les entouraient… Qu'à cela ne tienne, elles qui avaient eu si froid méritaient bien cette clémence !

Pendant que l'une caressait sans vergogne mes couilles, l'autre amusait mon gland qui n'avait pas tardé à montrer son empressement à venir jouer avec elle ! Je le devinais mouillé puisque déjà bien dur et je ne voulais pas aller surveiller leurs jeux de mon regard, au risque de faire prendre froid à toute l'équipe… Je sais faire confiance quand il le faut et les savoir se tripotant en catimini m'excitait bien davantage…

Je laissais donc tout ce joli monde se toucher, s'agacer, se caresser, se masser, se chamailler allégrement en toute impunité !!

Le tissu grossier et rugueux de la poche de mon pantalon de travail se frottait à mon gland toujours sensible, prompt à s'enthousiasmer et je devinais ma mouille transpirer au travers de ma chair rougie d'excitation, inonder l'intérieur de ma poche.

Ma queue était bien raide et je ne pouvais, hélas, dignement la saisir à pleine main. Il me fallait me contenter de la pincer. Je sentais donc combien elle était dure et je l'imaginais tendue, droite comme un chêne, couchée, langoureuse dans un lit de poils trempés. Je branlais ainsi de quelques doigts cette rampe et chaque mouvement doux venait augmenter mes sensations.

J'en fermais les yeux pour mieux en savourer le bonheur…

Mon imagination voyait mes poils qui allaient spontanément s'accoler à ma bite décalottée et de temps à autre je les sentais se coincer dans mon prépuce que je retroussais alors au plus vite…

Quant à mon autre main, elle malaxait doucement mes burnes, jaugeant de leur lourdeur et de leur élasticité. Je les pressais voluptueusement, les serrant bien dans la paume assez fort pour les taquiner mais suffisamment pour en tirer un plaisir que je sais subtil.

D'une connivence parfaite comme deux catins, mes deux mains s'échangeaient leur ouvrage. A la manière de quelques libertines elles reprenaient ce qu'avait momentanément lâché la précédente ou même venaient s'occuper ensemble au plaisir de mon sexe.

Les doigts, tendus de chaque main dans leur poche respective, pressaient ma tige et la branlaient lentement mais fermement, faisant coulisser ma peau de haut en bas sur mon mât bigrement durci… C'était diablement bon et le fait même de ne pas voir cela me donnait un plaisir que j'avais oublié depuis longtemps. (Au temps de mon adolescence, il m'arrivait de me toucher au travers de mon jogging et de mon slip que je mettais alors par obligation, contrainte que j'ai abolie au plus tôt…)

Ce jeu dura le temps que mon esprit s'embrase…

Une idée m'est venue alors, une idée idiote mais à ce moment jouissive, excitante et quelque peu perverse...

Je me suis donné l'ordre de juter dans mon pantalon et ce qui allait ainsi changer de mon ordinaire.

 Il faut dire que j'avais un peu plus tard un rendez-vous avec une femme-maire d'un village voisin et l'idée m'a intensément séduit. Me savoir couvert de mon sperme, à demi séché ou encore gluant pendant que je lui parlerai titillait fortement ma boîte à fantasmes !

L'odeur suffisamment forte de mon jus fraichement giclé allait peut-être chatouiller ses narines ??? Que ce le soit ou non, moi je saurais que ce serait le cas dans mon pantalon souillé et le fantasme allait me suffire !

J'ai donc lâché ma purée dans mon pantalon, sentant le jus chaud couler sur mon ventre et tacher mes poches plus encore qu'elles ne l'étaient de par ma mouille… je n'ai rien retenu, évacuant jusqu'à la dernière goutte ma semence que je sais odorante…

De ma bite encore raide j'ai pris soin d'étaler mon sperme dans mes poils et ce n'est qu'une fois certain que rien ne restait dans ma queue, que mon envie de jouir s'est estompée que je me suis levé pour me rendre à ce rendez-vous que je savais quelque peu pervers…

Je ne saurai jamais si cette femme a senti mon parfum de mâle. Il me plait à penser que oui et que si c'était vraiment le cas elle ne m'en aurait jamais fait allusion ! Cette délicieuse incertitude est savamment triviale et chaque fois que je la rencontrerai, planera en mon esprit le souvenir de cette indélicatesse !!  

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